Ce 27 Janvier 1943 à l'aube, le train plombé, "combien d'arrêts et de départs", s'immobilise enfin dans un grand cri d'acier.
Ici c'est la Pologne, même si Jo et ses compagnes d'infortune ne le savent pas, quand les portes scellées des wagons s'ouvrent sur la neige et la glace d'un autre quai de gare.
Ici, c'est Oświęcim, Auschwitz comme hurlent les Allemands.
Et ici, il faudra mourir.
Que l'Eternel pardonne à la France, un jour.