Bonjour,
Je reçois de Velib maintenant un mail de confirmation de la bonne restitution de mon vélo, après un trajet.
Je vous en remercie.
Je m'inquiète juste, si vous me permettez, de votre bonne compréhension des priorités attendues par vos usagers, et partant de la bonne utilisation que vous faites du temps des informaticiens à votre disposition, à régler les problèmes urgents.
J'ai besoin de pouvoir décrocher un vélo et circuler dans Paris.
Dans l'état actuel 95% de mes tentatives de décrochement échouent, toutes avec un pictogramme différent sur l'écran du vélo.
Dans l'état actuel, ce mail de confirmation que je reçois est certainement destiné à me confirmer que je ne rêve pas : "Bravo, non seulement tu as réussi à trouver un vélo, mais en plus tu as réussi à le décrocher ! Ouaouh !"
Sincèrement, je préfèrerais que vous m'envoyiez un mail à chaque fois que j'échoue à décrocher un vélo.
Evidemment cela ferait beaucoup plus de mails.
Mais au moins je serais sûr que vous faites remonter, recevez
et traitez les anomalies de votre système défaillant.
Meilleures salutations
samedi 28 juillet 2018
vendredi 27 juillet 2018
Madame la Maire
Madame la Maire,
Il est clair maintenant que le service Velib est une catastrophe industrielle majeure.
Dont acte.
Personnellement, je ne vous en tiens pas rigueur :
On a affaire au cas classique du prestataire qui a fait ce qu'il fallait pour avoir un marché, en sachant pertinemment qu'il n'en n'avait pas les capacités, et qu'il apprendrait sur le tas.
Et contre ca, vous ne pouvez rien, ou en tout état de cause, vous deviez virer Decaux.
Mais, en contrepartie, je vais vous demander de mettre toute la force des services de la Ville de Paris à travailler au rétablissement de ce service pour les parisiens sans voiture comme moi.
J'ai été impressionné par l'efficacité de vos services (en l'occurrence les services de la Voirie du 14ème, lors du projet de réfection de la Rue du Château).
Je me dis que des gars comme vous en avez sous la main, sont en capacité de raccrocher quelques milliers de vélos à des bornes électrifiées sur la chaussée, en quelques semaines.
Pour qu'au 1er Septembre, nous cessions collectivement d'être la risée du Ministre de l'Intérieur, ancien maire de Lyon.
Meilleures salutations
Il est clair maintenant que le service Velib est une catastrophe industrielle majeure.
Dont acte.
Personnellement, je ne vous en tiens pas rigueur :
On a affaire au cas classique du prestataire qui a fait ce qu'il fallait pour avoir un marché, en sachant pertinemment qu'il n'en n'avait pas les capacités, et qu'il apprendrait sur le tas.
Et contre ca, vous ne pouvez rien, ou en tout état de cause, vous deviez virer Decaux.
Mais, en contrepartie, je vais vous demander de mettre toute la force des services de la Ville de Paris à travailler au rétablissement de ce service pour les parisiens sans voiture comme moi.
J'ai été impressionné par l'efficacité de vos services (en l'occurrence les services de la Voirie du 14ème, lors du projet de réfection de la Rue du Château).
Je me dis que des gars comme vous en avez sous la main, sont en capacité de raccrocher quelques milliers de vélos à des bornes électrifiées sur la chaussée, en quelques semaines.
Pour qu'au 1er Septembre, nous cessions collectivement d'être la risée du Ministre de l'Intérieur, ancien maire de Lyon.
Meilleures salutations
Le secret de la licorne
Le Musée de Cluny a réouvert au 14 Juillet.
Approcher la Licorne du Moyen-Age, et tenter de lire ce bâtiment qui vit au cœur de Paris depuis 2000 ans.
Approcher la Licorne du Moyen-Age, et tenter de lire ce bâtiment qui vit au cœur de Paris depuis 2000 ans.
jeudi 26 juillet 2018
vendredi 20 juillet 2018
jeudi 19 juillet 2018
Trevor et les Africains
Intéressant monologue de Trevor Noah sur "l'africanité" des joueurs de foot français, en réponse à un courrier de l'ambassadeur de France à Washington.
vendredi 13 juillet 2018
Jus de fruits
60 Millions de Consommateurs et la DGCCRF informent :
Les marques [de Jus de Fruits] ont tendance à embrouiller le consommateur sur la catégorie de jus qu'il consomme.
Or il existe une différence notable entre :
1- un pur jus (auquel rien n'est ajouté),
2- un jus à base de concentré (dans lequel la quantité d'eau est importante)
et
3- un nectar, seule catégorie pour laquelle les industriels peuvent ajouter du sucre, des conservateurs et des colorants.
Les marques s'arrangent pour que le consommateur ait du mal à identifier ces trois familles : Souvent les nectars avancent masqués, dénonce 60 millions de consommateurs.
Et de citer la marque Pressade qui pour son «Bio Orange» inscrit la mention nectar en bas de la brique, en petits caractères. La DGCCRF a déjà dénoncé ce type de pratique l'an dernier. L'étiquetage de certains jus de fruits à base de concentré met en relief la mention ‘jus de fruit' par une typographie différente (caractères plus grands que ceux de la mention ‘à base de concentré').
Cette pratique n'est pas autorisée par la réglementation.
De même, l'utilisation de mentions facultatives comme celles incorporant le terme ‘pur' a été observée sur l'étiquetage de jus obtenus à partir de concentré. Cette pratique peut créer de la confusion dans l'esprit du consommateur sur les caractéristiques du produit, ajoutait la DGCCRF.
Les marques [de Jus de Fruits] ont tendance à embrouiller le consommateur sur la catégorie de jus qu'il consomme.
Or il existe une différence notable entre :
1- un pur jus (auquel rien n'est ajouté),
2- un jus à base de concentré (dans lequel la quantité d'eau est importante)
et
3- un nectar, seule catégorie pour laquelle les industriels peuvent ajouter du sucre, des conservateurs et des colorants.
Les marques s'arrangent pour que le consommateur ait du mal à identifier ces trois familles : Souvent les nectars avancent masqués, dénonce 60 millions de consommateurs.
Et de citer la marque Pressade qui pour son «Bio Orange» inscrit la mention nectar en bas de la brique, en petits caractères. La DGCCRF a déjà dénoncé ce type de pratique l'an dernier. L'étiquetage de certains jus de fruits à base de concentré met en relief la mention ‘jus de fruit' par une typographie différente (caractères plus grands que ceux de la mention ‘à base de concentré').
Cette pratique n'est pas autorisée par la réglementation.
De même, l'utilisation de mentions facultatives comme celles incorporant le terme ‘pur' a été observée sur l'étiquetage de jus obtenus à partir de concentré. Cette pratique peut créer de la confusion dans l'esprit du consommateur sur les caractéristiques du produit, ajoutait la DGCCRF.
mercredi 4 juillet 2018
Mazal tov !
Le plan biodiversité, qui sera présenté mercredi 4 juillet 2018, aura parmi ses principaux objectifs la lutte contre l'artificialisation des sols, a annoncé le ministre de la Transition écologique :
"Nous allons fixer l'objectif de zéro artificialisation net des sols"
Mazal tov !
"Nous allons fixer l'objectif de zéro artificialisation net des sols"
Mazal tov !
Le ministre est visiblement un lecteur de NautreMonde, je m'en félicite.
Même si je suis un peu inquiet de la responsabilité que cela représente de fixer ainsi, sans le savoir, les objectifs gouvernementaux.
L'ecosystème s'effondre
Hey les jeunes :
Je pense que, quand quelqu'un de compétent et de raisonnable, comme un écologue du CNRS, qui n'a pas l'air d'un excité, dit simplement que "L'écosystème de la France est en train de s'écrouler", il est alors vraiment temps que vous vous battiez pour le monde de demain.
Je pense que, quand quelqu'un de compétent et de raisonnable, comme un écologue du CNRS, qui n'a pas l'air d'un excité, dit simplement que "L'écosystème de la France est en train de s'écrouler", il est alors vraiment temps que vous vous battiez pour le monde de demain.
dimanche 1 juillet 2018
Simone
Simone entre au Panthéon.
Je suis passé la saluer au Mémorial de la Shoah, j'avais raté Jean Moulin la dernière fois.
Merci Madame.
Je suis passé la saluer au Mémorial de la Shoah, j'avais raté Jean Moulin la dernière fois.
J'avais un vieux prof de français, dans mes années influençables, qui nous parlait souvent de "Simone Weil". Il précisait, à chaque fois, "La grande, pas l'avorteuse".
Je ne lui en veux pas. J'ai appris, des années après, qu'il était lui aussi passé par Auschwitz.
Merci Madame.
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