Quand il fait très chaud, que l’on ne peut passer près d’un mur de pierres sèches sans recevoir une bouffée de chaleur bien après que le soleil est tombé, alors parfois, je pense à Kazantzakis, de manière fulgurante et confuse.
Je revois Manolos, le berger de Lycovrissi, cette immense figure christique, mais comme le livre ne lui a pas donné d’image à rappeler de ma mémoire, sans doute par respect du principe biblique "tu ne feras pas d'images", je lui donne les traits d’Anthony Quinn, dans Zorba. Peu importe, tous deux incarnent si bien la Crête merveilleuse.
Je recommande à tous les jeunes de lire « Le Christ recrucifié », ca vaut tous les voyages initiatiques.
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