Il faut un courage incroyable, véritablement suicidaire, à un Juif pour aller tagger le Mur des Lamentations à Jérusalem.
Les mots du tag lui-même importent peu finalement "C'est une Shoah [qui se passe] à Gaza", comparés à la quasi-certitude que l'Eternel ouvrirait le sol pour engloutir le blasphémateur.
Nombres 26 :
"10 : Mais la terre ouvrit son sein et les engloutit avec Coré, pendant que périssait le reste du parti, que le feu consumait les deux cent cinquante hommes, frappés pour l'exemple. 11 : Quant aux fils de Coré, ils ne périrent point."
Et pendant ce temps-là, les Français, dans la torpeur de l'été, s'invectivent sur la suppression d'un jour férié dans le calendrier ...
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