Paris se libère, certes.
Mais c'est de la main de ceux qui ont envoyé la cousine de ma grand-mère, Georgette Lyet-Messmer, à Auschwitz.
Elle a été emprisonnée au Fort de Romainville, puis à Compiègne, d'où elle est partie par le convoi du 24 Janvier 1943 vers l'Allemagne et Auschwitz.
A Auschwitz, elle porte le numéro 31818 dans sa chair.
Elle y mourra du typhus vers Mai 1943.
Elle a toujours été libre, elle.
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