La France me dit explicitement, qu'avec mes 55 ans, je ne suis plus prioritaire dans l'obtention d'un respirateur, en cas de pénurie dans les services de réanimation.
Cette réalité pénible, dans sa brutalité, est en fait un cadeau extraordinaire : C'est une immense liberté pour le reste de ma vie.
Et cette liberté me rend terriblement dangereux pour tous les emmerdeurs de la société dont j'ai beaucoup trop ménagé la susceptibilité, avant.
Mon syndic de copropriété, le greffier du Tribunal de Commerce, mon inspecteur des Impôts vont probablement être les premiers à faire les frais de ma liberté toute neuve.
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