Il est temps de changer les paroles de la Marseillaise, en gardant la même mélodie pour la continuité historique.
Qui suis-je pour choisir qui a le sang suffisamment impur pour venir abreuver nos sillons ?
D'autant qu'on voit bien, malheureusement, que c'est le sang des innocents, nécessairement pur, qui coule le mieux sur la terre.
Je suis gêné que l'Assemblée Nationale chante hier ce besoin de sang à l'unisson, pour la première fois depuis la fin de la grande boucherie.