De quoi s'agit-il ? En quelque sorte, du vide peut être engendré inopinément une particule et son antiparticule. C'est une conséquence de certaines propriétés du vide qui en a plein... On parle de fluctuation quantique du vide. Michel Cassé parle de vide fleuri, car y foisonnent quantités de ces épiphénomènes, autant que pâquerettes dans les prés au printemps. Une fleur bien nommée pour ma comparaison à moi. Un petit recours à l'étymologie s'impose : pâquerette prend un accent grave car elle vient de Pâques. Fleur qui fleurit à Pâques... Et Pâques, pesaḥ en hébreu, veut dire passages... Quoi de mieux pour signifier ces communications ténues qui existent entre deux espace-temps ? Entre monde réel et monde fantasmé, entre passé et futur ? Des co-incidences existent qui montrent les limites de l'entendement humain et de ces définitions sur ce qu'il croit voir de l'Univers.