dimanche 24 août 2014

Paris se libère, certes ...

Paris se libère, certes.

Mais c'est de la main de ceux qui ont envoyé la cousine de ma grand-mère, Georgette Lyet-Messmer, à Auschwitz.


Elle a été emprisonnée au Fort de Romainville, puis à Compiègne, d'où elle est partie par le convoi du 24 Janvier 1943 vers l'Allemagne et Auschwitz.


A Auschwitz, elle porte le numéro 31818 dans sa chair.

Elle y mourra du typhus vers Mai 1943.

Elle a toujours été libre, elle.

  

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